Et c’est reparti. On va encore casser du sucre sur le dos du brocoli et ce sont les consommateurs américains qui vont en pâtir. Réagissant au débat actuel sur la nouvelle politique de santé du président Obama (Obamacare), des politiciens et des membres de la Cour Suprême des États-Unis ont décidé de s’en prendre à la dite politique en s’en prenant au pauvre brocoli, clairement enfant pauvre des cuisines américaines. ‘On ne va pas nous obliger à manger des brocolis’, ont-ils entonné, faisant référence à l’obligation des individus et entreprises de ce pays d’avoir ou de fournir une police d’assurance à ceux qui n’en ont pas. C’est Bush père qui a commencé en 1990 en déclarant ‘Maintenant que je suis président des États-Unis, je ne mangerai plus de brocoli’…Bref, après le chou de bruxelles, légume le moins apprécié des américains selon les sondages, voilà le tour du brocoli, honni des Républicains. Ô crucifère, Ô Lucifer…